Né en 1949 près de Pékin, Wang Keping vit et travaille à Paris (France).

 

La carrière française et internationale de Wang Keping est jalonnée d'importantes expositions personnelles institutionnelles et d'installations monumentales. En 1989, l'Asia University Museum of Modern Art de Taichung (Taïwan), lui consacre sa première exposition personnelle ; suivie, en 1990, du Chinese Modern Art Center d'Osaka (Japon) ; puis en 1993, de l'Aidekman Art Center de Boston (États-Unis) ; en 1994, du Museum für Kunsthandwerk de Francfort (Allemagne) ; en 1997, du HKUST Center for Arts de Hong Kong (Chine) et du He Xiangning Art Museum de Shenzhen (Chine) ; en 2008, du Musée d'art asiatique de Nice (France) ; en 2009, du He Xiangning Art Museum de Shenzhen (Chine) ; en 2010, du Musée Zadkine, à Paris (France) ; en 2013, l'Ullens Center for Contemporary Arts (UCCA, Pékin) lui consacre sa première grande rétrospective en Chine ; en 2018, il installe LOLO, sculpture monumentale, lors de l'inauguration de la Fondation Carmignac à Porquerolles (France) ; en 2020, il est exposé au Domaine de Chaumont-sur-Loire (France) ; en 2021, Wang Keping réalise pour le Domaine des Étangs à Massignac (France) la sculpture de plus de quatre mètres de haut, la Vénus de l'Étang.

 

Cette année, Wang Keping bénéficie d'une actualité particulièrement forte avec la publication d'une importante monographie et la tenue d'une exposition personnelle au Musée Rodin à Paris (France) suivie d'une carte blanche au Musée Guimet à Paris (France).

 

Wang Keping est aussi invité dans de nombreuses expositions collectives de référence, dont plusieurs soulignent l'importance de son œuvre dans l'histoire de l'art moderne et contemporain, telles qu'en 1983 au Brooklyn Museum (États-Unis) ; en 1990, à la Chapelle Saint-Louis de la Salpêtrière, à Paris (France) ; en 1996 au Centre Pompidou, à Paris (France) ; en 1998 au Linden-Museum de Stuttgart (Allemagne) ; en 1999 au Modern Art Museum de Chengdu (Chine) ; en 2001 à l'Ashmolean Museum d'Oxford (Royaume-Uni) ; en 2005 au Kunstmuseum de Bern (Suisse) ; en 2007 au Louisiana Museum of Modern Art, à Copenhague (Danemark) ; en 2008 au Today Art Museum de Pékin (Chine), ainsi qu'au Musée Maillol, à Paris (France) ; en 2011 au China Institute de New York (États-Unis) et au Musée Cernuschi, à Paris (France) ; en 2013 à l'Asia Society, à Hong-Kong (Chine) ; en 2016 à la Biennale de Busan (Corée du Sud), ainsi qu'au M+ de Hong Kong (Chine) et au Centre d'Art et de Nature du Domaine de Chaumont-sur-Loire (France) où il expose ses sculptures monumentales ; et plus récemment, en 2019, à l'Ashmolean Museum d'Oxford (Royaume-Uni). En 2021, certaines pièces historiques de Wang Keping sont exposées à l'occasion de l'inauguration du nouveau musée M+ de Hong Kong.

 

Les œuvres de Wang Keping figurent dans de nombreuses collections privées et publiques de renommée internationale, telles qu'en France, le Centre Pompidou et le Musée Cernuschi (Paris), le Centre d'Art et de Nature du Domaine de Chaumont-sur-Loire, dans les collections de la Ville de Paris et celles du Département de Seine-Saint-Denis ; au Royaume-Uni, l'Ashmolean Museum (Oxford) ; aux États-Unis, l'Aidekman Art Center (Boston) ; en Chine, le M+ Museum (Hong-Kong), et le He Xiangning Art Museum (Shenzhen) ; à Taïwan, le Museum of Modern Art (Taichung) ; au Japon, le Museum of Asian Contemporary Art (Osaka) ; et en Corée du Sud, l'Olympique Sculpture Park (Séoul). En 2016, vingt-sept ans après que le Centre Pompidou a exposé Silence, l'œuvre de Wang Keping, intitulée Étreinte, rentre dans les collections du Musée d'art Moderne / Centre Pompidou grâce à la générosité de son Cercle international de la Société des Amis.

 

Wang Keping est représenté par la Galerie Nathalie Obadia Paris/Bruxelles, depuis 2017.æ