Né en 1961 en Vendée à Luçon, Fabrice Hyber vit et travaille à Paris.

 

Dès ses débuts dans les années 80, puis en devenant l'un des plus jeunes lauréat du Lion d'Or de la Biennale de Venise en 1997, l'artiste a bénéficié d'une attention croissante sur la scène internationale. Il a exposé dans de nombreux prestigieux lieux institutionnels en France et à l'étranger, et a participé depuis plus de 20 ans à d'importantes manifestations artistiques internationales. En 2018, Fabrice Hyber est élu membre de l'Académie des Beaux-Arts.

 

L'œuvre de Fabrice Hyber a récemment fait l'objet d'expositions personnelles comme en 2019 avec Prototypes à l'Appartement 22 de Rabat (Maroc) ; en 2017 avec hyberDUBUFFET à la Galerie Nathalie Obadia à Paris (France) ; en 2015, le directeur Bart De Baere du MuHKA à Anvers (Belgique) présentait Formes des mots et avait convié l'artiste à participer à la 6e Biennale de Moscou (Russie), la White Box à New York (États-Unis), lieu alternatif installé dans le quartier du Bowery, présentait Maison des POFS sous le commissariat de Tony Guerrero, le CRAC Languedoc Roussillon à Sète (France) lui consacrait une ambitieuse exposition monographique intitulée 2716m2 et regroupant plus de 300 tableaux ; en 2013 avec Raw materials au BALTIC Centre for Contemporary Art à Newcastle (Royaume-Uni) ; en 2012, l'exposition monographique Matières Premières au Palais de Tokyo à Paris (France) qui a rencontré un vif succès public et critique, Essentiel à la Fondation Maeght, où il présentait ses peintures homéopathiques à Saint-Paul-de-Vence (France), exposition qui fut reprise en 2014 par la Galerie der Stadt Tuttlingen (Allemagne), mais aussi Prototypes d'objets en fonctionnement (POF) au MAC/VAL de Vitry (France) ; en 2012 est inaugurée la fresque monumentale sur céramique intitulée Sans Gêne, commandée par l'Institut Pasteur à Paris (France).

 

L'artiste a également bénéficié d'expositions significatives au sein d'institutions prestigieuses, notamment en 2020 au Palais de Tokyo à Paris (France) avec Notre monde brûle ; en 2019, à la Fondation Cartier à Paris avec Nous les arbres ou encore à la Fondation Carmignac à Porquerolles (France) avec La Source ; en 2018, au Musée de Vence à Saint-Paul- de-Vence (France) avec Picasso et après : un éloge de la fabrique (Picasso-Méditerranée) ; en 2015, le Centre Pompidou Metz (France) présentait, l'exposition de groupe Aura. Art et télépathie de Rodin à nous jours, sous le commissariat de Pascal Rousseau, regroupant ainsi les œuvres des artistes du XIXe siècle au XXIe siècle, de Rodin à Fabrice Hyber ; en 2014, il participe à la Biennale de Busan (Corée du Sud), il est aussi présent dans l'exposition Narcisse, l'image dans l'onde à la Fondation François Scheinder à Wattwiller (France) et dans Brave New worlds : Utopia in Dystopia au Metropolitan Museum de Manille (Philippines) ; en 2013, il participe à la Biennale de Lyon (France).

 

Fabrice Hyber est représenté par la Galerie Nathalie Obadia depuis 2014.